dimanche, août 10, 1997
10 août 1997
toujours le temps qui file...LE camp me laisse cette impression de ne plus avoir une seule seconde à moi, d'être aliénée par mon travail 24 heures par jour...(Je ferais sûrement une chronique juste sur ce sujet la semaine prochaine, j'aurai plus de temps...) Mes chroniques me manquent terriblement. L'été a amener tellement de changements dans ma vie. C'est comme si je ne sais plus par où commencer. J'ai tellement de choses à dire mais j'ai tellement peu de temps en ville mais pourtant, c'est vraiment le seul été que j'aurais foncièrement et profondémment passer en ville. Une autre loi de Murphy je suppose...C'est toujours quand on veut être quelque part qu'on n'y est pas du tout. Enfin. J'avais toujours cru, jusqu'à aujourd'hui qu'on pouvait toujours aider nos amis dans les situations difficiles et qu'en fait un des plus importants buts de l'amitié c'est d'avoir quelqu'un qui fait attention à nous, qui est là pour nous, somebody to lean on. Mais pourtant, je me suis rendue compte dernièrement que tout ce que je pouvais faire pour un bon ami qui a le moral bas ces temps-ci, c'est lui sourire et le serrer fort dans mes bras en disant que j'étais là et que je tenais à lui. Une immpression d'impuissance incroyable. On voudrait tellement déplacer des montagnes pour lui, arrêter le vent, lui apporter la lune, lui donner notre envie de vivre à nous et lui donner une petite partie de notre coeur...Chéri, crois en tes rêves, accroche-toi à tes rêves et surtout rêves. Comme cette chanson que me chantait ma mère: "Vis ta vie, vis ta vie, fais ton chemin. Ton étoile t'as déjà tracé ton destin. Vis ta vie, vis ta vie, fais ton chemin, Mon étoile guidera tes pas." Take care. ...à la semaine prochaine.
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