Après un peu plus qu'un mois d'absence, aujourd'hui la vie est de retour. De retour à tous les jours. Pourquoi tant de changements, de oui/non/oui/non? Honnêtement, je ne sais pas. Parce que la vie est en éternel changement. Parce que plusieurs projets sont un peu moins accaparants pendant l'été. Parce que c'est l'été tout simplement. Mais surtout je crois, parce que cette irrésistible envie d'écrire est toujours là. Parce que j'ai besoin de m'exprimer. Aussi parce que j'avais souvent l'impression que personne ne me lisait, alors que je constate que des centaines de personnes sont venus faire un tour sur le site même si je n'y écris plus, ce qui est pour moi plus qu'éloquent.
Sans doute parce que j'aime écrire, j'aime cette chronique et qu'elle me manque lorsque je n'écris pas. Ce besoin d'exprimer des idées, en se disant que peut-être qu'elles aideront quelqu'un quelque part à avancer un petit peu, à faire un pas de plus. Parce que la vie est souvent injuste et qu'on se doit de le dire et de le dénoncer. Parce qu'il faut avancer. Parce qu'il faut que j'avance et que chacune de ces chroniques m'apparaissent comme un pas de plus sur la route de la vie.
Peut-être aussi parce que les deux derniers mois furent sans doute ... bizarres. Et que j'ai réalisé que le silence peut être manipulé très habilement et s'avèrer une arme plus qu'essentielle. Et que le seul moyen de contrôle le silence, c'est s'exprimer, s'affirmer.
Alors voilà. Je suis ici, encore une fois. J'espère que vous y serez aussi! À demain.
Cette chronique était la seule écrite au mois d'avril 1998
jeudi, avril 02, 1998
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