Comme je le fais à l'occasion, j'ai fait un tour dans mes chroniques de la dernière année...Ça en fait des chroniques puisqu'il y a plus d'un an que ce site existe! Et vous savez quoi, j'en venais à la conclusion que plus ça change, plus c'est pareil au fond la vie.
En mars dernier (dernier, comme v'là 11 mois...) la toute première polémique soufflait sur ALV. Pour une histoire de Volleyball à l'époque. Mais connaissez vous la plus belle qualité de la vie? Elle est comme l'eau. Elle coule. Elle nous échappe éternellement et ne s'arrête jamais de couler. Elle suit son chemin, toujours. Comme une chandelle qui brûle...C'est la vie.
Alors donc, réglons ici un problème qui est naît ici...
La chronique écrite sur ma déception par rapport à ma vision de la délégation (non,non petits curieux, elle n'y est plus, pas besoin d'aller voir...) a été jugée diffamatoire selon certains, fausse selon d'autres, offensente, bref, you name it. Peut-être mes propos ont-ils été trop crus. Peut-être trop directs. Peut-être aurais-je dû prendre le temps de faire de belles longues phrases lichées diplomatiquement tournées. Après tout, n'est-ce pas la diplomatie justement que nous allions étudier là-bas? J'en assume la responsabilité. Mais je me dois de répéter encore une fois que cette chronique a pour but de susciter la réflexion. Et à voir le nombre de commentaires que je reçois ces jours-ci, je dois dire qu'elle n'a jamais autant atteint son objectif que maintenant. Profondément, cette chronique a peu d'importance. Outre le fait qu'elle tente de susciter une réflexion, elle n'a aucune importance. L'imprimer, la faire lire, la discuter, la raconter et se réunir pour en débattre, c'est lui accorder beaucoup trop d'importance. D'ailleurs, si cette chronique est dans le champs, pourquoi donc la considérée autant? M'enfin.
Peut-être que la chronique était trop forte. Mais peut-être aussi que les réactions de certains l'étaient aussi. Je tiens d'ailleurs à mentionner que j'ai répondu et rencontrée toute personne qui m'a écrite ou qui m'a demandé des explications. Je ne peux malheureusement pas répondre à ceux qui me lisent en silence, sans m'écrire.
Aussi, on peut bien m'accuser d'une chronique mal écrite mais certainement pas de tous les maux de l'univers...
Il y a une règle d'Or dans le web est c'est que ce qui y est se doit d'y rester. Mélanger la réalité avec le web, c'est comme mélanger la violence à la télévision et la réalité. C'est pas parce que Arnold tire sur un méchant que dans la vie il est un tueur. C'est comme téléphoner à une ligne 1-900-opal et être déçu que le vrai nom de la grosse dame de 45 ans au bout du fil ne soit pas en fait Tanya 36-24-36, mais bien plutôt Ginette...
S'il y a quelqu'un qui sait que démolir prend bien moins de temps que de construire, c'est moi. Mais certaines fois, il faut démolir un mur pour améliorer toute la maison.
Mes excuses à ceux qui se sont sentis diffamés, attaqués, et ce que vous voulez. Reste qu'en définitive, nous avons tous réfléchis à nos actes et encore une fois donc, la chronique a atteint son objectif. Pas de la bonne façon diront certains. Mais je dirai que de mon côté, peu importe les mots, mon sentiment profond reste et restera pour toujours le même. Un sentiment d'humiliation, de déception, d'échec.
Quelle histoire hors de toute proportions...Wow.
mercredi, février 11, 1998
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire