Je sais...vous vous dites, mais voyons...c'était quoi ca? Est-ce que j'ai fait la grève ou quoi? Et bien non. J'aim simplement vécu. Vécu la vie, comme elle vient et comme elle va, la vie telle qu'elle est.
Malgré le nombre impressionnant de mots que compte notre belle langue française, rares sont ceux qui décrivent bien les sentiments que l'on éprouvent. On ne lit pas, on n'écrit pas des sentiments, on les vit et on les partagent. C'est un peu ce qui explique mon silence des derniers jours. Et je l'ai déjà dit, le silence est souvent bien plus profonds que tous les mots d'une langue.
La vie et notre vision de celle-ci est toujours relative à ce que nous avons vécu en tant que personne et ce nous sommes. Personne ne voit la vie de la même façon tout simplement parce que personne n'a la même vie. Et nos différentes expériences nous apprennent toujours, à chaque jours, un peu plus sur ce qu'est la vie. On découvre des gens, en re-découvrent d'autres sous des angles moins glorieux...Aussi, certaines de nos paroles dites et entendues prennent un sens nouveau, insoupçonné. Comme cette citation d'Eldorado...
Je me demandais quelques fois comment mon ami Alexandre avait bien pu se tenir devant ce train, sans bouger et sans broncher et là, dans un sens, je viens un peu de comprendre...
En tout cas, si la vie est une boîte de chocolat, je vais vous dire bien honnêtement, je viens de tomber sur le morceau de caramel dure que personne veut et qui nous casse toujours les dents...
"Baignons dans l'euphorie provisoire du temps, que l'on noie sans pitié dans l'alcool et les opiacées". Eldorado
jeudi, mars 19, 1998
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